Alors qu’il a préféré ne pas s’aligner dans l’exhibition de Boodles en raison d’une douleur au poignet, on peut logiquement s’interroger sur l’état de forme physique mais aussi mental du Serbe avant ce Wimbledon 2014. Même si la standing ovation à la suite de sa défaite de Roland Garros était très émouvante, ce revers a du marquer mentalement le Serbe. On sait qu’il est toujours difficile d’enchaîner un bon Wimbledon après un Roland Garros éprouvant. Le Serbe ayant hérité de Golubev puis logiquement de Stépanek qui est souvent un partenaire d’entrainement, il ne va pas avoir le temps de trop gamberger.
La raquette de Djokovic un vrai compromis de polyvalence et puissance
Publié le samedi 21 juin 2014 à 17:44