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Votez pour la révé­la­tion fémi­nine de l’année 2017 !

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Un trophée qui vient saluer une joueuse dont les perfor­mances ont permis d’exploser aux yeux du grand public. Progression au clas­se­ment, régu­la­rité, l’année 2017 de ces joueuses a constitué une véri­table révé­la­tion à ce niveau.

1 – Vondrousova, la nouvelle pépite tchèque

Le tennis féminin tchèque est souvent montré en exemple et à juste titre. En 2017, la nouvelle pépite Marketa Vondrousova avait créé la sensa­tion en rempor­tant son premier tournoi WTA pour sa première parti­ci­pa­tion à un tableau final. Issue des quali­fi­ca­tions, la joueuse de 17 ans avait soulevé le trophée à Bienne en Suisse après avoir battu quatre membres du Top 100 : Annika Beck (60e), Kristyna Pliskova (58e), Barbora Strycova (18e) et Anett Kontaveit (99e). La native de Sokolov, qui avait terminé 376e en 2016, est désor­mais 67e. Y a pire comme progression…

2 – La surprise Mertens

Au‐delà du Top 100 il y a un an (120e fin 2016), Elise Mertens frappe à la porte du Top 30. Actuellement 36e, la Belge a surpris son monde en 2017. La joueuse de 22 ans a remporté son premier titre WTA à Hobart puis disputé une nouvelle finale du côté d’Istanbul. A Roland Garros, elle a réalisé son meilleur parcours en Grand Chelem avec un troi­sième tour. La native de Leuven sera une des curio­sités à suivre en 2018.

3 – Bellis se fait une place

Révélée à l’âge de 15 ans en battant Dominika Cibulkova à l’US Open 2014, CiCi Bellis reste l’étoile montante du tennis féminin améri­cain et commence petit à petit à faire sa place. En 2017, elle a pour­suivi sa progres­sion en attei­gnant notam­ment les demi‐finales de Stanford après avoir battu Petra Kvitova. Des bons résul­tats qui lui permettent de finir à la 60e place mondiale. La Californienne de 18 ans a renoncé à s’inscrire à l’université de Stanford pour se consa­crer au tennis. Un choix fort qui commence à payer…

4 – L’inattendue Goerges

Julia Goerges n’est pas une inconnue, mais sa fin de saison en a surpris plus d’un. L’Allemande de 29 ans est devenue numéro 1 de son pays en attei­gnant la 14e place mondiale suite à ses deux titres remportés consé­cu­ti­ve­ment à Moscou et au Masters Bis de Zhuhai. Une saison au cours de laquelle elle a égalé sa meilleure perfor­mance en Grand Chelem avec un huitième de finale à l’US Open. Elle a égale­ment disputé trois autres finales sur le circuit, du côté de Majorque, Bucarest et Washington. Confirmera‐t‐elle en 2018 ? Telle est la question.

5 – L’ouragan Ostapenko

Jelena Ostapenko a soufflé un vent de fraî­cheur tant par son jeu que par sa person­na­lité. Adepte de l’ultra agres­si­vité sur le terrain, ses réponses en confé­rence de presse à Roland Garros en avaient surpris beau­coup tant elle était cash et rapide. Comme sur le terrain fina­le­ment. Gagnante de Roland Garros à seule­ment 20 ans, il s’agissait seule­ment de son premier titre sur le circuit ! Une perfor­mance qui rappelle celle de Gustavo Kuerten en 1997. Avant son sacre Porte d’Auteuil, elle avait disputé la finale de Charleston avant de soulever un deuxième trophée à Séoul. Depuis, la Lettonne s’est installée dans le Top 10 (7e) et a disputé son premier Masters. Jelena Ostapenko incarne le présent et l’avenir du circuit féminin.

Retrouvez gratui­te­ment et en inté­gra­lité le numéro 61, le dernier numéro de notre maga­zine GrandChelem… Bonne lecture !