AccueilWimbledonBartoli : "En France, on a tendance à se mettre des barrières"

Bartoli : « En France, on a tendance à se mettre des barrières »

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Aujourd’hui, on revient sur un dossier « Outsiders » que l’on avait concocté en septembre 2007. Nous avions inter­rogé Thierry Ascione, Virginie Razzano, Jo‐Wilfried Tsonga, Aravane Rezaï, Mickael Jeremiasz, Tarik Benhabiles, Antony Dupuis mais aussi Marion Bartoli qui avait atteint la finale de Wimbledon en juillet perdue face à Venus Williams.

La ques­tion
On a l’im­pres­sion que la réus­site en France ça fait peur. Tu as cette impression‐là ?
« J’ai un peu cet esprit à l’Américaine où on a la philo­so­phie que tout est possible, que tout est faisable et que tout peut être réalisé. En France, on a tendance à se mettre des barrières en pensant qu’on a des limites qui ne sont pas fran­chis­sables. Pour moi, les seules limites que l’on a sont celles que l’on se met. Et si on ne s’en met pas, on peut arriver à tout. »

Question bonus
Quel est le parte­naire idéal pour un double mixte ?
« Roger Federer, je suis une fan absolue de Roger. »