Dans un papier bien documenté du New‐York Times, l’ancien joueur américain Jim Courrier explique que la direction de Roland‐Garros aurait admis qu’elle aurait du jouer plus la carte de la concertation : « Pour autant que je sache, Roland Garros a rapidement reconnu l’erreur de fixer des dates ou d’aviser qui que ce soit dans sa décision. Je pense qu’il y a eu de nombreuses discussions entre les pouvoirs existants depuis tout ce qui s’est passé ». L’auteur Christopher Clarey explique que cette crise a eu du « bon » car cela a permis enfin que l’ensemble des institutions se mettent autour de la table pour discuter des mesures à prendre et d’un éventuel nouveau calendrier lié à cette crise sanitaire.
Publié le samedi 4 avril 2020 à 12:43