Angelique Kerber est clairement la première joueuse à évoquer de façon concrète l’idée de jouer à huis clos dans un entretien pour le quotidien Bild : « Les matches de tennis sans public sont, sans aucun doute, l’opposé de ce que l’on veut, mais nous parlons aussi de chercher une issue, pour revenir progressivement à une forme de normalité, nous devons donc penser à des scénarios différents que l’on avait pas envisager et qui, à d’autres moments, auraient semblé très rares ».
Voilà qui est clair et qui traduit bien les évolutions des mentalités. Il faut dire que les Allemands seront peut‐être les premiers à reprendre des activités sportives professionnelles.
Publié le jeudi 9 avril 2020 à 12:44