Tous les observateurs du tennis n’ont pas le même degré d’informations. Sans vouloir innocenter Simona Halep, il est difficile de croire qu’une partie de sa carrière ait été une conséquence de la prise de produits dopants. Pourtant pour Jimmy Arias, il est vraiment difficile de ne pas y penser au moment où la joueuse roumaine a pris sa retraite.
« Il y a évidemment un astérisque à côté de son nom. On y pense toujours. Les résultats sont là, les titres sont là. Les 40 millions de prize money seront toujours là, ce qui est bien pour elle. Mais c’est difficile parce qu’il y a ce point d’interrogation : « Est‐ce qu’elle l’a fait à la loyale ou est‐ce qu’il y a eu un petit avantage » et combien de matches cela a‑t‐il représenté ? Nous ne connaissons pas la réponse. C’est donc difficile, et je suis heureux de ne pas être celui qui vote pour l’entrée au Hall of Fame ».
Publié le jeudi 6 février 2025 à 10:28