Aimer la langue de Shakespeare et le tennis, cela va de paire. Le site Internet de l’américain Tennis Magazine consacre sa Une à la finale de Stanford, anglée sur la surprenante réussite de Walter Bartoli et de Richard Williams en tant qu’entraîneur, des entraîneurs « très peu orthodoxes et très performants. » Une prose à découvrir, sur deux façons de devenir joueuse professionnelle peu communes.
Publié le mardi 4 août 2009 à 11:02