Interrogé sur les enseignements à tirer sur la défaite au premier tour, Guy Forget a eu cette réponse : Chaque match joué, chaque défaite, chaque gifle, cela aide à grandir, à réfléchir, à se remettre en question. Contrairement au football par exemple où la qualification se joue sur une série de matches de poule, nous jouons toujours notre qualification sur un seul match, couperet. C’est beaucoup plus difficile d’aller loin dans une campagne de Coupe Davis. Ce match de barrage est consécutif à une défaite qui s’explique et qui est presque logique, quand on voit comment les Tchèques avaient joué à l’époque. Aujourd’hui, on est favoris. Dans mon esprit, la défaite n’est pas envisageable un seul instant. Et on va, je l’espère, retrouver très vite le groupe mondial. C’est là que l’on mérite d’être. J’espère que la prochaine fois, on aura la chance d’évoluer à domicile, avec des garçons en forme, pour pouvoir jouer, pourquoi pas, les premiers rôles.
Publié le vendredi 18 septembre 2009 à 08:38