AccueilLa carte postale de Melbourne, épisode 7

La carte postale de Melbourne, épisode 7

-

Ah Melbourne, le mythe du bout du monde, de son « Aus Open » avec un public so « amazing », de ses night sessions qui n’en finissent plus, de sa chaleur parfois insup­por­table… Pour vous, WeLoveTennis va vous faire décou­vrir la première levée en Grand Chelem de la saison telle que vous le rêviez, c’est-à-dire, en vrai touriste ! Alors suivez le guide et enjoy !

Assister à une night session à l’Open d’Australie, c’est d’abord assister à un magni­fique couché de soleil sur la ville et le stade. Oui, c’est cliché, mais telle­ment « beau­tiful » qu’on pour­rait diffi­ci­le­ment s’en lasser. La nigth night session c’est aussi (et surtout) une ambiance parti­cu­lière. « Je voulais abso­lu­ment voir une night session car je recher­chais de l’ambiance. Pour moi, l’ambiance y est plus élec­trique qu’en day session, » m’ex­plique David, jeune lyon­nais de 22 ans rencontré au stade, arrivé dans la capi­tale du Victoria en septembre 2014 après avoir validé sa licence en STAPS. Pas faux. Surtout quand un austra­lien entre en piste. « Je voulais voir des grands joueurs comme Federer, Nadal ou Djokovic, là j’ai eu un Australien, donc pour l’ambiance c’était pas mal ! Les infra­struc­tures sont vrai­ment excep­tion­nelles. Tout est acces­sible. On peut aussi jouer sur un court dans les condi­tions d’un match avec arbitres et ramas­seurs ! On peut assister aux entraî­ne­ments très faci­le­ment. Il y a plusieurs places où les gens se retrouvent, deux dans Melbourne Park et Federation Square dans le centre où il y a beau­coup d’ambiance aussi. Les Australiens sont très tennis. Pourtant, en même temps il y a l’Asian Cup de foot­ball (l’Australie s’est quali­fiée pour « sa » finale, ndlr) mais il n’y a pas le même engoue­ment. » Ambiance, acces­si­bi­lité, convi­via­lité, telles sont les recettes du succès de cet Aus Open.

À demain pour de nouvelles aven­tures et découvertes…

De votre envoyé spécial à Melbourne