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Le culte à Federer

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Le quoti­dien suisse Le Matin a rencontré Roger Federer à Dubaï pour aborder un sujet bien diffé­rent du tennis : la mode. Un article travaillé, léché, où l’on relève une vraie admi­ra­tion pour le joueur. Un papier qui plaira beau­coup aux fans de Roger et fera certai­ne­ment sourire ceux qui l’ap­pré­cient moins. Voici quelques extraits.

Federer, « beau à se damner »

La rédac­trice commence par décrire la séance photo que Federer a effec­tuée à l’oc­ca­sion du lance­ment de son parte­na­riat avec le cham­pagne Moet et Chandon. Une séance où Roger a été amené à poser en costume. Voici donc la descrip­tion de ce moment : « Beau à se damner, intense, sa confiance défie la caméra. Il bouge dans son costume avec la souplesse de celui qui en a toujours porté. Quand on lui fait remar­quer l’ai­sance qui se dégage de ses poses, il acquiesce : « C’est moi qui doit porter les vête­ments et pas les vête­ments qui me portent. » La jour­na­liste décrit ensuite la rencontre de Federer avec les jour­na­listes. « Roger Federer confie depuis un salon cossu de Dubaï, dans un anglais au raffi­ne­ment quasi oscar‐wildien, que le complet est l’un des habits qu’il affec­tionne le plus… On boit ses paroles, comme une révé­la­tion : cette mascu­li­nité douce, cette séduc­tion légè­re­ment en dessous dégagent un naturel aris­to­cra­tique, telle une poli­tesse rendue aux simples mortels. »

« Le cham­pagne n’en­tache pas sa réputation »

Est ensuite abordé le sujet du nouveau parte­na­riat du Suisse avec la marque Moet et Chandon. Après les montres, les voitures alle­mandes, le chocolat, les rasoirs, les machines à café et les banques, le Suisse va donc offrir son image à de l’al­cool. Mais pas n’im­porte lequel, rassure son agent Tony Godsick : « Le cham­pagne n’entache en rien sa répu­ta­tion, ce n’est pas un vin qu’on achète en caisse et avec lequel on se saoule. » Et Federer d’ajouter : « Avant moi, une légende comme Scarlett Johanson a repré­senté cette maison, je dirais donc que c’est elle qui me confère du glamour. » Pourquoi pas…

Pour finir, on conclura avec cet aveu de Federer, concer­nant sa future tournée d’ex­hi­bi­tion en Amérique du Sud. Avant de partir, le Suisse va devoir résoudre un sacré problème… « Je pars prochai­ne­ment pour une tournée de matches exhi­bi­tions en Amérique du Sud et avec le programme de fou que j’ai, je ne sais même pas encore quelles tenues je vais mettre. »

Pour décou­vrir la suite, n’hé­sitez pas à cliquer ici. Ce papier vaut le détour !

La raquette de Roger Federer, ici !