Nous n’avons pas encore eu l’autobiographie d’Andre Agassi entre les mains mais de nouveaux extraits de son livre « Open » attisent encore plus notre curiosité. Tout le monde en prend pour son grade. Son grand rival Pete Sampras par exemple » Il est plus robotique qu’un perroquet. J’envie la tristesse d’esprit de Pete. J’aimerais pouvoir imiter son spectaculaire manque d’inspiration, et son absence de besoin pour l’inspiration. » Michael Chang en prend aussi pour son grade, relégué au rang de vulgaire bigot sans intêret : » Il remercie Dieu, crédite Dieu pour la victoire, ce qui m’offense. Que Dieu puisse choisir son camp dans un match de tennis, que Dieu se range contre moi, que Dieu soit dans le coin de Chang, me semble ridicule et insultant. J’ai battu Chang en savourant chaque coup blasphématoire.(…) Comment Chang, parmi tous les autres, peut‐il avoir gagné un Grand Chelem avant moi ? » Et ce n’est pas fini ; Jim Courier, Thomas Muster ou Yevgeni Kafelnikov, et surtout Boris Becker (qui aurait dragué Brooke Shield) sont passés à la moulinette. Vite, vite la version française !!!
Publié le jeudi 12 novembre 2009 à 10:06