Pour expliquer le moment où l’athlète est en phase avec lui‐même, Romain Ducret, coach mental, interrogé par nos confrères du quotidien le Matin a eu cette analyse pleine de bon sens « federien ». Extraits :
« Des études ont démontré que le fait d’imaginer un mouvement, par exemple, entraîne des conséquences végétatives de même ampleur que celles qui accompagnent des mouvements réels (fréquence cardiaque, ventilation pulmonaire…). Ce qui sous‐tend cet entraînement mental est la notion de « flow ». Le but pour le sportif est d’atteindre le plus souvent possible cet état de fluidité où, totalement immergé dans son activité et maître de lui, il se sent « comme sur un nuage ». Comme lorsque Roger Federer dit : « J’ai très bien joué, je réussissais tout ce que je voulais. »
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Publié le mardi 29 septembre 2009 à 10:41