Eliminé au dernier tour des qualifications par Falla, Marc Gicquel est le premier remplaçant sur la liste des éventuels Lucky Losers. Du coup, tous les matins, Marco se pointe à Bercy, signe une feuille de présence 30 minutes avant le début des matches et commence sa journée… d’attente. Attendre qu’un joueur déclare forfait, attendre que le juge‐arbitre lui signifie qu’il rentre dans le tournoi. C’est aujourd’hui la dead line, puisqu’à l’issue de la journée tous les joueurs auront disputé au moins un match.
Publié le mercredi 11 novembre 2009 à 14:41