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(H) – Ils ont dit…

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Tous les soirs de la première semaine de Roland Garros, vous pouvez retrouver un best of des meilleures décla­ra­tions de vos joueurs et joueuses préférés !

Rafael Nadal (victoire sur Sam Groth, 6–1 6–1 6–1) :

« Je suis content de mon entame dans le tournoi. Aujourd’hui (lire ce mardi), j’ai réussi les choses les plus impor­tantes que j’avais à faire, à savoir les retours. Je n’ai pas commis d’er­reurs. C’est vrai qu’il est meilleur sur des surfaces plus rapides, mais de manière géné­rale, j’ai été solide. »

Lucas Pouille (victoire sur Julien Benneteau, 6–3 4–6 6–4 7–6(4)) :

« Pour la première fois je suis rentré sur un court dans un Grand Chelem avec le statut de favori. J’ai senti qu’il y avait plus d’at­tentes ces derniers mois. Je suis content car j’ai réussi ma rencontre. J’ai eu des moments plus tendus où je suis un peu sorti du match. Et même quand, c’était diffi­cile, j’y ai toujours cru. C’est pour ça que termine en quatre sets (…) Je ne me suis pas mis un objectif précis en tête. Le but est d’aller le plus loin possible et de conti­nuer sur la dyna­mique de ces deux derniers mois. »

Stéphane Robert (victoire sur Kevin Anderson, 6–4 6–2 1–6 7–5) :

« Je fais mon meilleur début de saison depuis toujours (sourire) ! C’est assez surpre­nant. J’en profite à maximum, je me régale, je joue tous les plus grands tour­nois du monde contre les meilleurs joueurs. J’ai la chance de prati­quer un tennis très relaxe. Ça se ressent sur le terrain et je ne me fatigue pas. Ça me permet d’avoir cette endu­rance et d’être encore présent à 36 ans. J’ai l’im­pres­sion d’en avoir dix de moins (sourire) ! »

Novak Djokovic (victoire sur Lu, 6–4 6–1 6–1) :

« J’ai eu besoin de temps pour me mettre dedans, rentrer dans le tournoi, m’ha­bi­tuer aux condi­tions de jeu, au court… Le deuxième et le troi­sième ont été très bons. Dans la première manche, j’ai eu du mal à trouver mon rythme. Il y a des éléments posi­tifs et j’es­père progresser au fur et à mesure du tournoi. »

Nicolas Mahut (victoire sur Ricardas Berankis, 7–6(4) 6–2 6–1) :

« Je suis très content surtout que lorsque j’ai couché mon fils de cinq ans hier soir (lire ce lundi), il m’a dit : papa, tu es très fort en double, mais en simple tu ne gagnes jamais (rire) ! Alors, c’est ma satis­fac­tion du jour (sourire). »

Paul‐Henri Mathieu (victoire sur Santiago Giraldo, 6–4 6–7(2) 6–4 1–6 6–3) :

« Il y avait une ambiance dingue ! Je dois beau­coup au public qui m’a poussé dans les moments chauds, dans les fins de set. Ça m’a donné un petit coup de boost supplé­men­taire. C’est aussi ça la magie de Roland Garros et elle nous permet de passer outre nos peurs ou nos douleurs. Il faut savourer. Il y a eu une commu­nion avec le public qui m’a porté tout au long de la rencontre. On s’en­traîne pour vivre de tels moments. Je me suis battu pour revenir à un clas­se­ment qui me permet d’in­té­grer ces tour­nois et revivre ces émotions. »

Andy Murray (victoire sur Radek Stepanek, 3–6 3–6 6–0 6–3 7–5) :

« Je suis prêt à en parler, mais sachez que nous avons une très bonne rela­tion avec Amélie ! On ne s’est pas séparé en mauvais termes ! Nous avons discuté ensemble à Madrid et l’échange n’a pas été houleux. Celui qui dit ça, il ment. Les gens ont dit que l’on avait stoppé en raison de mon compor­te­ment, mais c’est faux ! Nous n’avons jamais évoqué mon compor­te­ment. On s’est dit que l’on n’avait pas passé assez de temps ensemble les trois mois précé­dents les gros tour­nois. Lorsque nous étions ensemble, elle insis­tait sur ma concen­tra­tion sur le terrain, de ne pas me distraire. Tout ce qui a été dit sur une rela­tion néga­tive n’est pas vrai ! »

Jo‐Wilfried Tsonga (victoire sur Jan‐Lennard Struff 6–3 6–4 6–4) :

« Les condi­tions n’étaient pas évidentes, lourdes et il faisait froid. Ça tourne assez souvent à mon avan­tage, donc je ne m’en plains pas. Je suis content de passer ce premier tour car ce n’est jamais facile de se lancer dans le tournoi (…) Pour moi c’était un test, l’oc­ca­sion de savoir si j’al­lais pouvoir être à fond ou pas. Le test s’est avéré positif. Je suis content de sortir de ce match sans la moindre douleur. Je suis confiant pour la suite (…) Marcos (Baghdatis) est un joueur surpre­nant et qui est rela­ti­ve­ment complet. Il est capable d’avancer dans le terrain ou de créer du jeu. Il apprécie les ambiances chaudes. Quand il y a des grands matchs à jouer, il aime bien ça. »

De votre envoyé spécial à Roland Garros

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