Un article intéressant de La Croix fait intervenir Pascal Maria, charismatique arbitre français. L’arbitre de chaise revient sur la vie d’un juge arbitre et aussi sur la pression sur l’heure épaule. Une pression récente, puisque le hawk‐eye, intégré en 2006, peut déjuger les arbitres. Retrouvez l’intégralité de l’article ici.
« C’est une pression supplémentaire qui nous oblige à la modestie, car on peut être déjugés, convient‐il. Mais cela renforce un autre aspect de notre métier, déterminant, la communication. Les meilleurs arbitres ne sont pas ceux qui ne se trompent jamais, mais ceux qui ont la confiance des joueurs. Il se passe des tas de choses sur le court entre eux et nous, que le public ne voit pas mais qui sont essentielles. »
Publié le lundi 4 juin 2012 à 21:47