Missionnées par le CIO pour éliminer les sportifs russes susceptibles d’être coupables de dopage, les fédérations internationales ont entamé le tri dans leurs athlètes. A l’instar des fédérations de l’équitation, de la voile ou du tir à l’arc, celle du tennis russe a fait savoir qu’elle ne se sentait pas concernée par les requêtes du CIO, aucun engagé russe n’ayant été contrôlé positif par le passé ni cité dans le rapport de la commission indépendante de l’AMA. Le tennis russe ne devrait, à priori, pas connaître de bouleversements lors des JO de Rio.
Publié le mardi 26 juillet 2016 à 18:37