Ancienne 3e joueuse mondiale et finaliste de l’US Open en 1978, Pam Shriver sait pertinemment ce qu’est de se pointer en conférence de presse après une défaite difficile à digérer.
Et après les déclarations peu élogieuses de Stefanos Tsitsipas à propos de son bourreau, Andrey Rublev, ce vendredi soir, l’Américaine est bien contente de ne pas avoir eu à répondre à des questions à l’ère des réseaux sociaux.
« J’ai eu quelques‐unes des pires conférences de tous les temps après un match perdu, et je suis très heureuse que les réseaux sociaux n’existaient pas encore pour répéter encore et encore. »
Publié le samedi 19 novembre 2022 à 19:51