Ferrer va mieux

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Le large sourire de David Ferrer à l’issue de sa victoire sur Kyle Edmund (6–7(5), 6–4, 6–3) en dit long sur son soula­ge­ment. Après plusieurs mois diffi­ciles où il semblait en chute libre, l’Espagnol de 35 ans démontre (comme s’il en avait encore besoin) à quel point il est un véri­table symbole d’ab­né­ga­tion. Victorieux du tournoi de Bastad après un troi­sième tour à Wimbledon, l’Ibère se rassure et prouve qu’il continue à travailler pour revenir à un bon niveau. De quoi forcer le respect.