Accueil"Elle est certainement l'inspiration de la fondation"

« Elle est certai­ne­ment l’ins­pi­ra­tion de la fondation »

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Tout le monde connait la fonda­tion de Roger Federer qui vient en aide aux pays Africains. Mais qu’elle a donc été son inspiration ?

« Ma mère est origi­naire d’Afrique du Sud. Elle est certai­ne­ment l’ins­pi­ra­tion de la fonda­tion. J’allais beau­coup là bas pour les vacances quand j’étais plus jeune. Et nous avons donc commencé le projet en Afrique du Sud et, quand j’ai été plus grand et quand j’ai eu plus d’argent, j’ai voulu l’étendre à d’autres pays ». Le Suisse a égale­ment confié qu’a­près sa carrière, il conti­nuerai à aider ces pays et qu’il souhai­tait que ses deux petites filles de sept mois, Myla et Charlene, soient conscientes que ce monde existe. « Je veux vrai­ment leur montrer que ce monde existe. Je ne veux pas qu’il y ait d’ex­cuses parce que je voyage. Ce sera dix années très exci­tantes pour moi parce que j’es­saierai des les éduquer, de les aider et de leur montrer toutes ces choses ».

Les enfants de ces pays sont en tout cas très recon­nais­sants pour l’aide que ce grand cham­pion leur apporte en criant dans la rue lors de sa venue : « Federer ! Federer ! On t’aime ! On t’aime ! ». Un accueil qui a sincè­re­ment surpris le numéro 1 mondial. « C’est la première fois que je viens ici. Je ne m’at­ten­dais pas à ça ».

Le Suisse s’est égale­ment prêté au jeu du sport local le plus répandu, l’ath­lé­tisme. Très vite dépassé par les adoles­cents habi­tués par les condi­tions, Roger Federer s’avoue vaincu. « J’ai toujours eu beau­coup de respect pour ces sports. Le terrain était très dange­reux et eux, ils cour­raient pieds nus. C’était impres­sion­nant, c’est le moins que je puisse dire ».

A la fin de la course, une des jeunes filles lui demande : « Tu as quel âge ? » Ce à quoi Federer lui dit de deviner. « Je ne sais pas sur les gens blancs…45 ? » lui répond‐elle.