Cédric Pioline reste l’un des Tricolores qui a le plus brillé sur lors de l’US Open. L’ancien numéro 1 français a atteint la finale en 1993 puis les demi‐finales en 1999. Pour nos confrères de L’Équipe, il revient sur les spécificités du Grand Chelem new‐yorkais et notamment la chaleur. « La tournée américaine qui précède le tournoi est dure, la surface est éprouvante pour le dos, les fessiers, les articulations, ça bloque souvent. Et le climat est exigeant : il fait très très chaud et humide. On en sort éprouvé et il faut être prêt physiquement. »
Publié le mercredi 31 août 2016 à 16:39