Dans une interview pour l’Equipe, Mary Pierce revient sur ses relations d’amour‐haine avec le public de Roland‐Garros : « Le public parisien n’est pas spécial, il est difficile. Quand on gagne, il est content. Quand on perd, il vous siffle. C’est dûr à vivre. On est pourtant pas des machines », a déclaré la gagnante de la cuvée 2000. Il est vrai qu’il est très rare d’entendre les mêmes broncas à New York et Melbourne, et quasiment impossible à Londres.
Publié le mardi 25 mai 2010 à 10:23