L’entraineur australien de Jannik Sinner a insisté sur le fait que son joueur avait bien conscience d’être un vrai privilégié.
« Il chérit ces trophées. Il comprend que ce qu’il fait est un privilège. Il peut pratiquer un sport qu’il aime et le faire au plus haut niveau. Il aime chaque parcelle de sa vie en ce moment. Il apprécie chaque moment qui lui arrive en ce moment, mais il a aussi les pieds sur terre, sachant que ce n’est qu’un sport, qu’un match de tennis, et qu’au‐delà de cela, tout en étant professionnel dans tout ce qu’il fait, il profite de la vie. C’est un jeune homme normal de 22 ans »
Publié le lundi 1 avril 2024 à 09:50