Difficile de passer à côté de la personnalité exubérante d’Alexander Bublik. Le Kazakhe fait partie des joueurs les plus « fous » du circuit, et a d’ailleurs récemment expliqué que cette folie ne l’avait pas toujours aidé, aussi bien sur les courts qu’en dehors.
« Parfois je jure sur le court, et il y a des conséquences, mais je me sens bien. J’ai déjà dit ce que j’ai dit et je ne peux pas revenir en arrière. Mais je ne le fais pas tout le temps, une ou deux fois par an. Si j’avais toujours été comme ça, ils m’auraient mis dans un hôpital psychiatrique. Mon père était mon entraîneur, ça a tué notre relation. Nous avons arrêté d’être père et fils pour devenir entraîneur et élève. Lorsque nous avons mis fin à cette coopération, il ne restait plus rien entre nous. Je ne peux pas dire que je suis triste à ce sujet, c’était important de maintenir une bonne relation à l’époque, maintenant ce n’est plus possible. »
Publié le vendredi 7 février 2025 à 16:17