Le Carlos Alcaraz qui débarquait en conférence de presse avec un anglais approximatif et une attitude hésitante est bien loin.
Interrogé à ce sujet lors de son passage devant la presse après sa qualification pour les huitièmes de finale de l’US Open, l’Espagnol n’a pas caché avoir passé quelques moments difficiles à cause de sa non maîtrise de la langue de Shakespeare.
« Il y a quelques années, j’arrivais en conférence de presse en transpirant en me demandant si j’allais comprendre la question, si j’allais arriver à répondre. Je sais que vous essayez que je me sente comme à la maison ici. Mon anglais s’est beaucoup amélioré, j’essaie de beaucoup parler avec les joueur. Désormais, je me sens tranquille et j’essaie de vous donner le meilleur (sourire). »
Publié le samedi 30 août 2025 à 20:22