AccueilATPATP - RomeMonfils : "J'ai envie de bien faire, trop peut-être"

Monfils : « J’ai envie de bien faire, trop peut‐être »

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On ne va pas déja tirer sur l’am­bu­lance mais force est de constater que Gaël Monfils semble être arrivé à Rome peu préparé. Vu le niveau proposé, on penche plutôt pour cette explication. 

Le Tricolore préfère lui avancer l’idée du stress :  » Je n’ai jamais bien joué sur ce tournoi. Je le sais. Je le ressens. Je ne suis pas bien, là, c’était telle­ment mauvais. Cela fait deux jours que je ressens du stress pour­tant j’ai envie de bien faire, trop peut‐être. Premier point du match, je fais un ace à 212 km/h... sur deuxième balle ! Ce n’est que du stress. Je sens pas mes frappes, mes coups ne partent pas, je suis loin, je n’ar­rive à rien, je subis. C’est très étrange, dès que j’ar­rive ici, ça ne le fait pas. ».

On aime beau­coup la « Monf » mais le coup de la panne mentale et non « élec­trique » est un refrain régu­lier pour expli­quer une perfor­mance indigne de son niveau et de ses ambitions. 

D’autant plus que son adver­saire du jour, le « terrible alle­mand » Dominik Köpfer, 97ème à l’ATP présen­tait un palmarès « ridi­cule » sur terre avant d’ar­river à Rome.