Même si Chela n’est plus le même que par le passé, Andy Murray a déoulé sur le Lenglen (6−2, 6–2, 6–1) en présentant un jeu complet, puissant et précis. L’Ecossais tout de noir vêtu (!!) s’est même permis des séquences service‐volée. Il est clair qu’il faudra suivre celui qui a fait la une du Grand Chelem 13.
Publié le dimanche 24 mai 2009 à 19:49