Sans être rabat‐joie, il faut bien reconnaitre que l’équipe de France n’a pas rencontré des « tops players » pour se qualifier pour les demi‐finales. Après le Japon sans Nishikori et la Grande‐Bretagne sans Murray, il ne manquerait plus que l’on reçoive la Serbie sans Djokovic et la coupe serait pleine. L’euphorie n’est donc pas de mise, et la Coupe Davis, épreuve mythique ressemble de plus en plus à un jeu de hasard à laquelle les meilleurs joueurs participent au grè de leur calendrier ou de leurs envies.
Publié le samedi 8 avril 2017 à 19:55