AccueilTsonga : "Pas de meilleure entame possible"

Tsonga : « Pas de meilleure entame possible »

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Vainqueur expé­ditif de Dudi Sela au 2e tour de Roland Garros, Jo‐Wilfried Tsonga est revenu sur son entrée très réussie dans ce Roland Garros 2015. Le Français évoque égale­ment son prochain adver­saire ainsi que les réper­cus­sions qu’au­raient une victoire d’un joueur trico­lore dans notre pays.

Jo, vous attendiez‐vous à un début de tournoi aussi réussi ?
On ne sait jamais ce qui va se passer avant d’en­trer en lice, à quel niveau vont etre nos adver­saires, à quel niveau, nous, on va être. Voilà, après ces deux premiers tours, je crois que je peux dire qu’il n’y a pas de meilleure entame possible. Je n’ai pas grand chose à dire hormis que je n’ai pas passé trop de temps sur le terrain, solide sérieux, fait le travail comme il fallait le faire, ca ne peut que m’aider pr la suite car je ne perds pas d’énergie. Aant d’affronter jouers plus forts bien d’être frais physi­que­ment car des combats il y en aura certainement.

Quel impact aurait une victoire d’un joueur fran­çais à Roland Garros, en France, selon vous ?
Je n’en ai aucune idée. Ce n’est pas que ça ne m’in­té­resse pas, mais disons que ce qui m’in­té­res­se­rait moi, c’est de gagner ! (Rires) Après, c’est vrai que les gens sont contents quand on gagne un premier tour, alors j’ima­gine que gagner le tournoi, ça doit être quelque chose d’ex­tra­or­di­naire. Surtout pour un pays comme le nôtre où il y a beau­coup de fans de tennis. Tout le monde se rappelle de la victoire de Yannick alors que c’était il y a 32 ans. Donc j’ima­gine qu’une victoire fran­çaise ici, ce serait quelque chose d’exceptionnel.

Est‐ce que vous auriez une préfé­rence pour votre prochain adversaire ?
Honnêtement pas vrai­ment. Je n’ai jamais joué Pablo Andujar alors que j’ai joué plusieurs fois Philipp Kohlschreiber notam­ment sur terre battue et en Grand Chelem. Donc j’au­rais une préfé­rence pour lui car je sais à quoi m’at­tendre. Mais quoi qu’il arrive, ce sont deux bons joueurs de terre battue et il va falloir être solide. 

De votre envoyée spéciale à Roland Garros

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