Carlos est la grande star de cette 9ème édition de la Laver Cup, mais il a expliqué que ce statut ne le rendait pas plus nerveux que cela.
« Au cours de la saison, nous avons tous des vrais plans de jeu quand on affronte nos rivaux. Ses schémas tactiques nous appartiennent. Mais dans cette compétition tout change puisque l’on fait partie d’une équipe et que l’on est tous sur un banc où l’on peut donner des conseils, participer au jeu sans être sur le court. Au début, cela peut sembler bizarre mais on s’y habitue, et l’on prend au final beaucoup de plaisir. En fait, je l’avoue, j’adore être entraineur parfois »
a nos plans quand on joue contre ces joueurs, qu’on les a sur le banc, qu’on donne leur point de vue sur le match, sur ce que je devrais faire… C’est bizarre au début, mais on s’y habitue et on apprécie. On peut aussi leur donner notre point de vue sur leur tennis vu de l’extérieur. C’est génial », a‑t‐il ajouté. « J’adore être entraîneur parfois. »
Publié le vendredi 19 septembre 2025 à 09:50