Roger Brennwald, directeur de l’ATP 500 de Bâle, a confirmé dans la Tribune de Genève que le numéro 1 mondial acceptait de disputer le tournoi sous des conditions financières particulières.
Roger Federer vous accorde‐t‐il un tarif de faveur pour sa prime d’engagement à Bâle ?
Il faudrait lui demander ! (rires). Je ne pense pas qu’il évoluerait ailleurs qu’à Bâle avec de telles conditions. Roger Federer nous a propulsés dans un autre monde. Ce qui stimule toute l’organisation du tournoi, quand elle a le privilège d’accueillir non pas le meilleur sportif bâlois, ni même suisse ou meilleur tennisman du monde. Mais le plus grand sportif de la planète.
Vos relations personnelles avec Roger Federer ne datent pas d’aujourd’hui…
Hors de sa famille et de son entourage proche, je dois être l’un de ceux qui l’a le mieux connu depuis son enfance. Nous habitions à quelques centaines de mètres, lui à Münchenstein, moi à Binningen. Il s’entraînait au Tennis‐Club Old Boys, à un kilomètre de ma maison. À 12 ans, il a débuté aux Swiss Indoors en tant que ramasseur de balles.
Publié le vendredi 6 novembre 2009 à 13:29