11–0. C’est désormais le bilan implacable de Jannik Sinner face à Alex de Minaur, après sa victoire en demi‐finales de l’ATP 500 de Pékin ce mardi.
📊 Les pires bilans de face‐à‐face sur le circuit principal parmi les joueurs en activité :
— Jeu, Set et Maths (@JeuSetMaths) September 30, 2025
▪️ 20–0 : 🇷🇸 Djokovic vs Monfils 🇫🇷
▪️ 12–0 : 🇷🇸 Djokovic vs Raonic 🇨🇦
▪️ 11–0 : 🇷🇸 Djokovic vs Fritz 🇺🇸
⬆️ 11–0 : 🇮🇹 Sinner vs De Minaur 🇦🇺
▪️ 9–0 : 🇯🇵 Nishikori vs Kukushkin 🇰🇿
▪️ 9–0 :… pic.twitter.com/ksin9KhCLg
Pour José Moron, rédacteur en chef de Punto de Break, ce scénario presque toujours identique a une explication simple.
« Le problème que rencontre De Minaur lorsqu’il affronte Sinner est qu’il lui renvoie toujours le même type de balle, une balle avec laquelle l’Italien se sent très à l’aise. Il peut gagner un point, comme c’est le cas ici, mais en poussant à l’extrême et en donnant tout ce qu’il a. C’est un cas particulier. Il est très difficile, voire impossible, de maintenir ce rythme pendant trois heures d’affilée. Je ne suis donc pas surpris qu’il n’ait pu gagner que deux sets en onze matchs. Sans varier les hauteurs, les vitesses et essayer d’autres choses, il est très difficile de le battre. Surtout parce que l’Italien maîtrise mieux que lui ce type de jeu : être un mur depuis le fond et offrir un rythme très élevé en montant sur la balle. »
Publié le mardi 30 septembre 2025 à 11:41