De retour au tournoi de Madrid, la numéro 1 mondiale Serena Williams s’est livrée sur la nécessité pour elle de faire un break depuis le tournoi de Charleston, ainsi que sur l’impossibilité pour sa soeur et elle de penser à la retraite. Extraits livrés par Tennis.com des paroles d’une joueuse déterminée à marquer de son empreinte un sport qui qu’elle incarne déjà bien.
Sur la pression qu’elle ressent
« Je ressens la pression chaque jour. Je pense que c’est une bonne chose quand même parce que cela signifie que j’ai toujours faim. Si je ne la ressentais pas, ce serait comme si je me disais « Oh, peut importe ». Ce n’est pas moi. »
Concernant son envie de continuer
»Si Venus et moi nous nous regardions l’une et l’autre et que nous avions un regard sur ce qu’on a fait, nous ne serions pas là. On en profiterait pour prendre des vacances sur je ne sais quelle île exotique quelque part. On ne peut pas se satisfaire encore, parce qu’il y a encore des choses que nous voulons faire. Je pense qu’il y a des domaines dans lesquels on peut être pionnières. Bien entendu, Venus a été pionnière toute seul de son côté avec ce qu’elle a réalisé comme le combat pour un prize money équitable et des choses de cette nature, donc je pense clairement qu’il y a encore des choses. Nous avons ouvert tellement de portes, j’ai besoin de penser à ce qui viendra ensuite. »
Sur son break depuis Charleston
« Après avoir joué énormément pendant deux ans, je commence à ressentir les effets. J’ai besoin de quelques semaines de repos où je ne pense pas au tennis pour en quelque sorte me remobiliser. »
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Publié le mercredi 30 avril 2014 à 16:42