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Pospisil n’en peut plus : « C’était comme si nous jouions avec une pierre. Je n’ai jamais rien vécu de tel dans ma vie. Chaque fois que vous frap­piez la balle, vous ressen­tiez des douleurs au poignet, aux coudes et à l’épaule »

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Alors que l’équipe cana­dienne, tenante du titre, s’est inclinée à la surprise géné­rale face à la Finlande, ce mardi en quarts de finale de la Coupe Davis, Vasek Pospisil, battu lors du double décisif aux côtés de son compa­triote Galarneau, a de nouveau poussé un gros coup de gueule concer­nant la qualité des balles utilisées. 

« Chaque joueur se plai­gnait des balles, chaque joueur. C’était comme si nous jouions avec une pierre. Je n’ai jamais rien vécu de tel dans ma vie. Chaque fois que vous frap­piez la balle, vous ressen­tiez des douleurs au poignet, aux coudes et à l’épaule. Malheureusement, même j’ai très bien joué en début de saison, je suppose qu’elles étaient bonnes pour mon jeu mais terribles pour mon corps. Dès la deuxième semaine, j’ai eu une déchi­rure au deuxième degré au niveau de mon coude. Je l’ai presque déchiré complè­te­ment. Les joueurs n’en parlent pas ouver­te­ment. Ils sont dans le vestiaire. Je veux dire, combien d’opérations du poignet avons‐nous vues cette année ? Je peux nommer plusieurs joueurs. »