Quelques fois, le temps presse et on arrive en conférence de presse avec des idées reçues. Le souci c’est quand en face il y a une joueuse qui est une star mondiale. Meme ceux qui ne manie pas la langue de Shakespeare vont comprendre la situation plutôt épique entre la reine Serena et un journaliste.
A rule to live by : don’t tell Serena Williams she played bad, especially when she definitely didn’t. This poor guy. #AusOpen pic.twitter.com/zs5saxmVjl
— Ben Rothenberg (@BenRothenberg) 19 janvier 2017
Publié le jeudi 19 janvier 2017 à 16:13