AccueilOpen d'Australie"Contrairement à Nadal et Federer, qui ont toujours été relativement aimés voire...

« Contrairement à Nadal et Federer, qui ont toujours été rela­ti­ve­ment aimés voire adulés par tous les publics du monde, Djokovic ne se sera pas résolu à ce côté vilain petit canard. Il veut être aimé par tous même s’il sait que ce n’est pas possible », observe Frédéric Verdier

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Au micro d’Eurosport, le jour­na­liste Frédéric Verdier a réagi à la colère de Novak Djokovic contre un spec­ta­teur lors de sa victoire contre Tomas Machac au troi­sième tour de l’Open d’Australie ce vendredi.

« Avec Justine Henin, on tirait le même constat pendant la rencontre (qu’ils ont commentée, ndlr). Il y a toujours cette exigence absolue de Novak Djokovic, cette envie de ne rien laisser au hasard, ce rapport aussi très conflic­tuel et pas du tout linéaire au public. Contrairement à Nadal et Federer, qui ont toujours été rela­ti­ve­ment aimés voire adulés par tous les publics du monde, il ne se sera pas résolu à ce côté vilain petit canard. Il suffit qu’un spec­ta­teur le chambre, même s’il fait un très bon match, pour qu’il ne soit pas content. Il veut être aimé par tous même s’il sait que ce n’est pas possible mais il est dans la recherche d’una­ni­mité auprès des autres et d’ex­cel­lence chez lui. »

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